La loi Climat et Résilience concrétise un bouleversement à venir dans l’approche de la planification territoriale. Désormais, les projets doivent s’inscrire dans une trajectoire de sobriété foncière permettant d’atteindre l’objectif de Zéro artificialisation nette (ZAN) des sols en 2050. Dans ce contexte, il est nécessaire de connaître et d’optimiser au mieux les possibilités de réaliser des projets dans les quartiers existants (les fameuses « enveloppes urbaines », c’est-à-dire dans les espaces déjà bâtis). La question est de trouver le bon équilibre entre densification des tissus urbains, intensification des usages et préservation des espaces végétalisés.