La fréquentation globale du stationnement payant sur voirie et dans les parcs de la ville est en baisse de 1,8 % en 2016. Cette tendance se confirme au 1er semestre 2017. Dans le même temps, la fréquentation totale du réseau de transports collectifs Le Met’ affiche une progression de 6,8 %.
Dans son rôle d’ingénierie et d’observation, l’agence vous présente son premier numéro du Flash Planification, consacré aux conséquences de la disparition des Plans d’occupation des sols (POS). Il s’adresse particulièrement aux communes dépourvues de PLU ou de cartes communales et dont les autorisations d’urbanisme sont instruites selon le Règlement national de l’urbanisme (RNU).
Le plan de paysage est une démarche volontaire, engagée par des collectivités qui invitent les acteurs de leurs territoires à repenser la manière de concevoir l’aménagement du territoire. Il s’agit de remettre au cœur du processus ce qui fait l’originalité et la richesse de ce territoire et qui, par ailleurs, est porteur de sens pour les populations : le paysage. Pourquoi mettre en œuvre un plan de paysage ? Quelle est l’échelle pertinente ? Qui est concerné ? Comment le mettre en œuvre ? Faites le point avec cette brochure. En plus de présenter la démarche et sa méthodologie, elle met en avant les témoignages d’acteurs de plan de paysage : paysagistes, urbanistes, animateurs de plans et élus.
L’AGURAM édite les premiers résultats de l’Enquête déplacements grand territoire à travers ces chiffres clés. 10 000 personnes ont été interrogées. Au compteur : 1,45 millions de, déplacements par jour dans le SCoTAM, dont la moitié au sein de la métropole. L’analyse des motifs de destination montre une évolution marquante des modes de vie : les loisirs dominent, avec 23 %, les achats et le travail arrivent ensuite (21 % et 20 %). Découvrez la synthèse des pratiques de déplacement sur l’ensemble du territoire.
Les agglomérations moyennes sont en mutation, en quête de reconnaissance parfois de renaissance. Si leurs situations sont contrastées, elles font aussi face à des enjeux communs. Maillon oublié des politiques d’aménagement du territoire entre métropolisation et ruralité, le « fait urbain » des agglomérations intermédiaires est l’objet aujourd’hui d’un regain d’intérêt des politiques nationales. À partir d’exemples concrets : Quels enjeux spécifiques ? Quelles démarches et stratégies innovantes ? Quels leviers et outils d’ingénierie mobilisables pour reconquérir les centres villes, notamment via des actions sur le logement et les espaces publics, un travail sur les fonctions de centralité et en particulier le commerce et l’enseignement supérieur, sur la mutation économique, sur la mobilité ou encore sur la culture et la qualité de vie ? Comment accompagner les projets territoriaux et l’investissement dans une approche transversale ?
Sujet central pour développer durablement nos territoires, la densité, notamment résidentielle, est souvent mal-aimée et associée à une perte de qualité urbaine. Elle fait souvent référence aux grandes villes ou encore aux grands ensembles construits dans les années 60-70… Pour faire avancer le débat, l’AGURAM s’est interrogée sur la diversité des formes urbaines et des densités qui nous entourent.
